PRIÈRES CONTRE LA MACÉDOINE |
La lecture priée des textes suivants extraits de la Parole de DIEU permettent de réussir à identifier ce sur quoi les autres nous en veulent, et donc qui les fait souffrir et offense le Seigneur (vu que d’une certaine façon ils nous maudissent intérieurement), et donc qui nous met en danger d’être frappés de fléaux. Permet également de déjouer les pièges d’incompréhensions qui font qu’à force que tout le monde en veuille à son voisin cela fait imploser un groupe, et voler ces incompréhensions afin de redonner une stabilité au groupe. Les prières contre la Macédoine donnent enfin la compétence incroyable de balayer les prières et les pensées négatives et autres types de « prières négatives » afin de les utiliser pour le bien. Elles ont également été regroupées dans un pdf imprimable. |
Le Bouc grandit énormément ; mais tandis qu’il était en pleine vigueur, la grande corne fut brisée, et à sa place s’élevèrent quatre cornes remarquables aux quatre vents du ciel.
En effet, c’est ainsi que Haman, fils de Hamadathos, un Macédonien, en réalité étranger au sang perse, bien éloigné de notre générosité, avait bénéficié de notre hospitalité ; 11 il avait rencontré l’amitié que nous portons à toute nation, au point d’être proclamé notre “père” et de devenir la seconde personnalité du trône royal, devant laquelle tous se prosternaient. 12 Mais il n’a pas contenu son orgueil, il s’est employé à nous priver du pouvoir et de la vie ; 13 par un tissu de mensonges frauduleux, il a réclamé, pour les anéantir, notre propre sauveur et constant bienfaiteur, Mardochée, et Esther, l’irréprochable compagne de notre royauté, ainsi que leur nation tout entière. 14 Par ces moyens, en effet, il s’est imaginé, en nous tenant isolé, faire passer aux Macédoniens l’empire des Perses. 15 Mais nous, nous trouvons que les Juifs, livrés à la disparition par cette triple crapule, ne sont pas des malfaiteurs ; au contraire, ils s’administrent par des lois très justes ; 16 en outre, ils sont fils du Dieu vivant, le Très-Haut, le Très-Grand, qui gouverne le royaume avec droiture pour nous comme pour nos ancêtres dans les meilleures conditions.
17 « Vous ferez donc bien de ne pas utiliser les lettres envoyées par Haman, le fils de Hamadathos, 18 attendu que leur auteur a été crucifié à l’entrée de Suse avec toute sa famille. Dieu, souverain de toutes choses, lui a rendu ainsi sans délai le verdict qu’il méritait.
19 « Après publication de la copie de cette lettre en tout lieu, laissez la liberté aux Juifs de suivre leurs propres coutumes ; 20 prêtez-leur main-forte afin que, ceux qui se seront attaqués à eux en un moment de détresse, ils les repoussent le treize du douzième mois (Adar), le même jour. 21 Car Dieu qui exerce son pouvoir sur l’univers entier a transformé ce jour-là pour eux en jubilation au lieu de l’extermination de la race élue. 22 Vous donc aussi, parmi vos fêtes commémoratives, célébrez ce grand jour par des réjouissances de toute sorte, 23 afin que, maintenant et pour l’avenir, ce soit le salut pour nous et pour les partisans des Perses, mais pour ceux qui conspirent contre nous un rappel de l’anéantissement. 24 Toute ville ou province en général, qui n’agira pas conformément à ces prescriptions, sera furieusement ravagée par la lance et le feu ; elle deviendra non seulement tabou pour les hommes, mais exécrable aussi pour les animaux sauvages et les oiseaux définitivement.
Mardochée mit ces choses par écrit dans un livre qu’il envoya à tous les Juifs qui se trouvaient dans le royaume d’Artaxerxès, aux plus éloignés comme aux plus proches, 21 afin d’instituer la célébration de ces jours fastes, le quatorze et le quinze Adar – 22 car en ces jours-là les Juifs avaient obtenu de leurs ennemis le repos – ainsi que de ce mois d’Adar où la situation avait été renversée en leur faveur, passant du deuil à la joie et du tourment à un jour faste ; ce mois serait célébré tout entier comme jours fastes de noces et de jubilation, avec envoi de portions aux amis et aux pauvres.
23 Les Juifs acceptèrent en conformité avec ce que Mardochée leur avait écrit : 24 comment le Macédonien Haman, fils de Hamadathos, leur avait fait la guerre, comment il avait posé un décret et tiré au sort pour les faire disparaître, 25 comment il était venu chez le roi pour lui dire de faire pendre Mardochée ; mais tous les malheurs qu’il avait entrepris d’amener sur les Juifs, c’est sur lui qu’ils s’étaient produits et il avait été pendu, lui et ses enfants.
26 C’est pourquoi ces jours-là ont été appelés Destinées : à cause des sorts (car dans leur dialecte, on les appelle des « destinées »), vu les termes de cette lettre, du fait de tout ce qu’ils avaient souffert pour cette raison et de tout ce qui leur était arrivé. 27 Mardochée en a fait une institution et les Juifs ont accepté pour eux-mêmes, pour leur descendance et pour leurs adeptes. Sans aucun doute, ils ne procéderont pas autrement. Ces jours seront un rappel accompli de génération en génération, en chaque ville, chaque famille, chaque province. 28 Ces jours des Destinées seront célébrés tout au long des temps. Surtout, que le rappel ne s’en efface pas de la postérité !
29 Esther, la reine, la fille d’Aminadab, et Mardochée, le Juif, mirent par écrit tous leurs actes ainsi que la confirmation de la lettre des Destinées. 31 Mardochée et Esther, la reine, avaient fait une institution pour eux en ce qui les concerne, faisant aussi alors de leur résolution une institution en vue de leur propre santé. 32 Par sa parole, Esther en a fait une institution perpétuelle ; puis on l’a mise par écrit pour qu’on en garde mémoire.
J’étais en train d’y réfléchir, et voici qu’un Bouc vint de l’occident, parcourant toute la terre sans même toucher terre ; ce Bouc avait une corne remarquable entre les yeux. 6 Il vint jusqu’au Bélier aux deux cornes que j’avais vu debout devant la rivière, et il courut sur lui dans l’ardeur de sa force. 7 Je le vis arriver à proximité du Bélier, et il se mit en rage contre lui. Il frappa le Bélier et brisa ses deux cornes, et le Bélier n’eut pas la force de tenir devant lui. Il le jeta par terre et le piétina, et il n’y eut personne pour délivrer le Bélier de son pouvoir. 8 Le Bouc grandit énormément ; mais tandis qu’il était en pleine vigueur, la grande corne fut brisée, et à sa place s’élevèrent quatre cornes remarquables aux quatre vents du ciel.
Quant à moi, en l’an un de Darius le Mède, j’avais été en poste pour lui donner force et appui. 2 « Maintenant donc, je vais t’annoncer la vérité. Voici que trois rois vont encore se lever pour la Perse, puis le quatrième amassera une richesse plus grande que celle de tous, et lorsqu’il sera fort de sa richesse, il mettra tout en branle contre le royaume de Grèce. 3 Mais un roi vaillant se lèvera ; il exercera une grande domination en agissant à sa guise. 4 Quand il sera bien établi, son royaume sera brisé et partagé aux quatre vents du ciel, sans revenir à ses descendants ni avoir la domination qu’il avait exercée, car sa royauté sera déracinée et reviendra à d’autres qu’à eux. (…)
Après qu’Alexandre, fils de Philippe, Macédonien sorti du pays des Kettiim, eut battu Darius, roi des Perses et des Mèdes, et fut devenu roi à sa place, tout d’abord sur l’Hellade, 2 il entreprit de nombreuse guerres, enleva mainte place forte et mit à mort les rois de la région. 3 Il poussa jusqu’au bout du monde et prit les dépouilles d’une multitude de nations. La terre se tut devant lui. Son cœur s’exalta et s’enfla d’orgueil ; 4 il rassembla une armée très puissante et soumit provinces, nations et dynastes, qui durent lui payer tribut. 5 Après cela, il s’alita et comprit qu’il allait mourir. 6 Il convoqua ses officiers nobles, ceux qui avaient été élevés avec lui depuis sa jeunesse et partagea entre eux son royaume avant de mourir. 7 Alexandre avait régné douze ans quand il mourut. 8 Ses officiers nobles prirent le pouvoir chacun dans son fief. 9 Tous ceignirent le diadème après sa mort et leurs fils après eux durant de longues années. Ils multiplièrent les maux sur la terre.
Le roi Antiochus parcourait les provinces d’en haut et il apprit qu’il y avait en Perse Elymaïs, ville fameuse par ses richesses, son argent et son or, 2 avec un sanctuaire très riche, renfermant des pièces d’armure en or, des cuirasses et des armes, laissées par Alexandre, fils de Philippe, roi de Macédoine, qui régna le premier sur les Grecs. 3 Il s’y rendit et chercha à s’emparer de la ville pour la piller, mais il ne put y parvenir, parce que les gens de la ville eurent vent de la chose 4 et se dressèrent contre lui pour le combattre. Battant en retraite, il quitta les lieux, fort vexé, pour regagner Babylone.
Maccabée ayant donc rassemblé ses hommes au nombre de six mille les exhortait à ne pas s’effrayer devant les ennemis et à ne pas se préoccuper du grand nombre de païens qui les attaquaient injustement, mais de combattre avec vaillance, 17 en ayant devant les yeux l’outrage criminel commis par eux contre le saint lieu, le traitement indigne infligé à la ville bafouée, enfin la ruine de leurs traditions. 18 « Eux, ajouta-t-il, se fient aux armes et aux actes audacieux, tandis que nous, nous plaçons notre confiance dans le Dieu souverain, capable de renverser d’un seul signe de tête ceux qui marchent contre nous et avec eux le monde entier. » 19 Et il leur énuméra aussi les cas de protection dont leurs aïeux furent favorisés : sous Sennakérib, quand périrent cent quatre-vingt-cinq mille hommes, 20 en Babylonie dans une bataille contre les Galates, où le nombre total de ceux qui prenaient part à l’action s’élevait à huit mille hommes avec quatre mille Macédoniens et où, les Macédoniens mis en difficulté, les huit mille anéantirent cent vingt mille ennemis, grâce au secours qui leur était venu du Ciel, et firent un grand butin.
Une nuit, Paul eut une vision : un Macédonien lui apparut, debout, qui lui faisait cette prière : « Passe en Macédoine, viens à notre secours ! » 10 A la suite de cette vision de Paul, nous avons immédiatement cherché à partir pour la Macédoine, car nous étions convaincus que Dieu venait de nous appeler à y annoncer la Bonne Nouvelle. 11 Prenant la mer à Troas, nous avons mis le cap directement sur Samothrace ; puis, le lendemain, sur Néapolis 12 et de là nous sommes allés à Philippes, ville principale du district de Macédoine et colonie romaine. Nous avons passé quelque temps dans cette ville. 13 Le jour du sabbat, nous en avons franchi la porte, pour gagner, le long d’une rivière, un endroit où, pensions-nous, devait se trouver un lieu de prière ; une fois assis, nous avons parlé aux femmes qui s’y trouvaient réunies. 14 L’une d’elles, nommée Lydie, était une marchande de pourpre originaire de la ville de Thyatire qui adorait déjà Dieu. Elle était tout oreilles ; car le Seigneur avait ouvert son cœur pour la rendre attentive aux paroles de Paul. 15 Lorsqu’elle eut reçu le baptême, elle et sa maison, elle nous invita en ces termes : « Puisque vous estimez que je crois au Seigneur, venez loger chez moi. » Et elle nous a forcés d’accepter.
Un jour que nous nous rendions au lieu de la prière, une jeune servante qui avait un esprit de divination est venue à notre rencontre – ses oracles procuraient de gros gains à ses maîtres. 17 Elle nous talonnait, Paul et nous, en criant : « Ces hommes sont les serviteurs du Dieu Très-Haut ; ils vous annoncent une voie de salut. » 18 Et elle recommença pendant plusieurs jours. Excédé, Paul finit par se retourner et dit à l’esprit : « Au nom de Jésus Christ, je te l’ordonne : Sors de cette femme ! » Et, à l’instant même, l’esprit sortit. 19 Ses maîtres, qui voyaient s’enfuir l’espoir de leurs gains, mirent alors la main sur Paul et Silas, et les traînèrent jusqu’à la place publique devant les magistrats. 20 Ils les présentèrent aux stratèges : « Ces hommes, dirent-ils, jettent le trouble dans notre ville : ils sont Juifs 21 et prônent des règles de conduite qu’il ne nous est pas permis, à nous Romains, d’admettre ni de suivre. » 22 Et la foule se déchaîna contre eux ; les stratèges firent arracher leurs vêtements, donnèrent l’ordre de les battre de verges 23 et, après les avoir roués de coups, ils les jetèrent en prison, en ordonnant au geôlier de les surveiller de près ; 24 telle étant la consigne reçue, il les jeta dans le cachot le plus retiré et leur bloqua les pieds dans les ceps.
25 Aux environs de minuit, Paul et Silas, en prière, chantaient les louanges de Dieu, et les autres prisonniers les écoutaient. 26 Tout d’un coup, il y eut un tremblement de terre si violent que les fondations du bâtiment en furent ébranlées. Toutes les portes s’ouvrirent à l’instant même, et les entraves de tous les prisonniers sautèrent. 27 Tiré de son sommeil, le geôlier vit les portes de la prison ouvertes ; pensant que les prisonniers s’étaient évadés, il saisit son épée et allait se supprimer. 28 Mais Paul lui cria d’une voix forte : « Ne fais rien de funeste pour toi ; nous sommes tous là. » 29 Le geôlier demanda de la lumière, se précipita à l’intérieur et, tout tremblant, il se jeta aux pieds de Paul et de Silas. 30 Puis, les ayant fait sortir, il leur dit : « Messieurs, que dois-je faire pour être sauvé ? » 31 Ils lui répondirent : « Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé, toi et ta maison. » 32 Ils annoncèrent alors la parole du Seigneur, à lui et à tous ceux qui vivaient dans sa demeure. 33 A l’heure même, en pleine nuit, le geôlier les emmena pour laver leurs plaies ; puis, sans plus attendre, il reçut le baptême, lui et tous les siens. 34 Il fit ensuite monter Paul et Silas chez lui, leur offrit un repas et se réjouit en famille d’avoir cru en Dieu.
35 Le jour venu, les stratèges envoyèrent les licteurs dire au geôlier : « Relâche ces hommes ! » 36 Le geôlier communiqua cette nouvelle à Paul : « Les stratèges envoient dire de vous relâcher. Dans ces conditions, sortez donc et partez en paix ! » 37 Mais Paul déclara : « Ils nous ont fait battre en public, sans condamnation, nous qui sommes citoyens romains, ils nous ont jetés en prison. Et maintenant, c’est clandestinement qu’ils veulent nous jeter dehors ? Il n’en est pas question. Qu’ils viennent en personne nous libérer ! » 38 Les licteurs rapportèrent ces propos aux stratèges qui furent pris de peur en apprenant leur qualité de citoyens romains 39 et vinrent s’excuser auprès d’eux ; puis ils les libérèrent en leur demandant de quitter la ville. 40 Une fois sortis de prison, Paul et Silas allèrent trouver Lydie, virent les frères pour les encourager, puis ils repartirent.
Mais, lorsque Silas et Timothée furent arrivés de Macédoine, Paul se consacra entièrement à la Parole, attestant devant les Juifs que le Messie, c’est Jésus. 6 Devant leur opposition et leurs injures, Paul secoua ses vêtements et leur déclara : « Que votre sang vous retombe sur la tête ! J’en suis pur, et désormais c’est aux païens que j’irai. »
A la suite de ces événements, Paul prit la décision, dans l’Esprit, de se rendre à Jérusalem en passant par la Macédoine et l’Achaïe. Il déclarait : « Quand j’aurai été là-bas, il faudra encore que je me rende à Rome. » 22 Il envoya en Macédoine Timothée et Eraste, deux de ses auxiliaires, tandis que lui-même prolongeait un peu son séjour en Asie. 23 C’est à cette époque que se produisirent des troubles assez graves à propos de la Voie. 24 Un orfèvre en effet, du nom de Démétrius, fabriquait des temples d’Artémis en argent et procurait ainsi aux artisans des gains très appréciables. 25 Il rassembla ces artisans ainsi que les membres des métiers voisins et leur déclara : « Vous le savez, mes amis, notre aisance vient de cette activité. 26 Or, vous le constatez ou vous l’entendez dire : non seulement à Ephèse, mais dans presque toute l’Asie, ce Paul remue une foule considérable en la persuadant, comme il dit, que les dieux qui sortent de nos mains ne sont pas des dieux. 27 Ce n’est pas simplement notre profession qui risque d’être dénigrée, mais c’est aussi le temple de la grande déesse Artémis qui pourrait être laissé pour compte et se trouver bientôt dépouillé de la grandeur de celle qu’adorent l’Asie et le monde entier. »
28 A ces mots, les auditeurs devinrent furieux et ils n’en finissaient pas de crier : « Grande est l’Artémis d’Ephèse ! » 29 L’agitation gagna toute la ville et l’on se précipita en masse au théâtre, en s’emparant au passage des Macédoniens Gaïus et Aristarque, compagnons de voyage de Paul. 30 Paul était décidé à se rendre à l’assemblée, mais les disciples ne le laissèrent pas faire. 31 Et certains asiarques de ses amis lui firent aussi déconseiller de se risquer au théâtre. 32 Chacun bien sûr criait autre chose que son voisin, et la confusion régnait dans l’assemblée où la plupart ignoraient même les motifs de la réunion. 33 Des gens dans la foule renseignèrent un certain Alexandre que les Juifs avaient mis en avant. De la main, Alexandre fit signe qu’il voulait s’expliquer devant l’assemblée. 34 Mais, quand on apprit qu’il était Juif, tous se mirent à scander d’une seule voix, pendant près de deux heures : « Grande est l’Artémis d’Ephèse ! » 35 Le secrétaire réussit pourtant à calmer la foule : « Ephésiens, dit-il, existerait-il quelqu’un qui ne sache pas que la cité d’Ephèse est la ville sainte de la grande Artémis et de sa statue tombée du ciel ? 36 Puisque la réponse ne fait pas de doute, il vous faut donc retrouver le calme et éviter les fausses manœuvres. 37 Vous avez en effet amené ici des hommes qui n’ont commis ni sacrilège ni blasphème contre notre déesse. 38 Si Démétrius et les artisans qui le suivent sont en litige avec quelqu’un, il se tient des audiences, il existe des proconsuls : que les parties aillent donc en justice ! 39 Et si vous avez encore d’autres requêtes, l’affaire sera réglée par l’assemblée légale. 40 Nous risquons en fait d’être accusés de sédition pour notre réunion d’aujourd’hui, car il n’existe aucun motif que nous puissions avancer pour justifier cet attroupement. » Et, sur cette déclaration, il renvoya l’assemblée.
Quand le tumulte se fut calmé, Paul fit venir les disciples et les encouragea. Puis il leur dit adieu et prit la route de la Macédoine. 2 Après avoir traversé ces régions et y avoir encouragé longuement les frères, il parvint en Grèce, 3 où il passa trois mois. Au moment de prendre la mer pour la Syrie, comme les Juifs complotaient contre lui, il décida de repasser par la Macédoine. 4 Il avait comme compagnons : Sopatros, fils de Pyrrhus, de Bérée ; Aristarque et Secundus, de Thessalonique ; Gaïus, de Derbé, et Timothée, ainsi que Tychique et Trophime, de la province d’Asie. 5 Ce groupe, qui avait pris les devants, nous a attendus à Troas. 6 Quant à nous, partis de Philippes après les jours des pains sans levain, nous nous sommes embarqués pour les rejoindre, cinq jours plus tard, à Troas, où nous avons fait halte pendant une semaine.
Mais maintenant je vais à Jérusalem pour le service des saints : 26 car la Macédoine et l’Achaïe ont décidé de manifester leur solidarité à l’égard des saints de Jérusalem, qui sont dans la pauvreté. 27 Oui, elles l’ont décidé et elles le leur devaient. Car si les païens ont participé à leurs biens spirituels, ils doivent subvenir également à leurs besoins matériels.
Je viendrai chez vous en passant par la Macédoine ; je la traverserai, en effet, 6 et il est possible que je séjourne ou même que je passe l’hiver chez vous, pour que vous me donniez les moyens de poursuivre ma route. (…) 2 Co 1, 15 Et dans cette assurance, je voulais passer tout d’abord chez vous pour vous obtenir une deuxième grâce, 16 puis, de chez vous, me rendre en Macédoine, et enfin revenir de Macédoine chez vous, pour que vous fassiez tout le nécessaire pour mon voyage en Judée. 17 En prenant cette résolution, aurais-je fait preuve de légèreté ? Ou bien mes projets ne sont-ils que des projets humains, en sorte qu’il y ait en moi à la fois le Oui et le Non ? 18 Dieu m’en est garant : Notre parole pour vous n’est pas Oui et Non. (…) 2, 12 J’arrivai alors à Troas pour y prêcher l’Evangile du Christ et, bien que le Seigneur m’ouvrît grande la porte, 13 je n’eus pas l’esprit en repos, car je ne trouvai pas Tite, mon frère. J’ai donc pris congé d’eux et je suis parti pour la Macédoine. 14 Grâce soit rendue à Dieu qui, par le Christ, nous emmène en tout temps dans son triomphe et qui, par nous, répand en tout lieu le parfum de sa connaissance.
En fait, à notre arrivée en Macédoine, nous n’avons pas connu de détente, mais toutes sortes de détresses. Combats au-dehors, craintes au-dedans. 6 Mais Dieu, qui console les humbles, nous a consolé par l’arrivée de Tite, 7 non seulement par son arrivée, mais par le réconfort qu’il a reçu de vous ; il nous a fait part de votre vif désir, de vos larmes, de votre zèle pour moi, au point que j’en ai eu une joie plus vive encore.
Nous voulons vous faire connaître, frères, la grâce que Dieu a accordée aux Eglises de Macédoine. 2 Au milieu des multiples détresses qui les ont éprouvées, leur joie surabondante et leur pauvreté extrême ont débordé en trésors de libéralité. 3 Selon leurs moyens et, j’en suis témoin, au-delà de leurs moyens, en toute spontanéité, 4 avec une vive insistance, ils nous ont réclamé la grâce de participer à ce service au profit des saints. 5 Au-delà même de nos espérances, ils se sont donnés eux-mêmes, d’abord au Seigneur, puis à nous, par la volonté de Dieu. 6 Aussi avons-nous insisté auprès de Tite pour qu’il mène à bonne fin chez vous cette œuvre de générosité, comme il l’avait commencée.
Au sujet de l’assistance en faveur des saints, il est inutile que je vous écrive. 2 Je sais vos bonnes intentions, et j’en tire fierté pour vous auprès des Macédoniens : L’Achaïe, leur disais-je, est prête depuis l’an dernier, et votre ardeur a stimulé la plupart des Eglises. 3 Je vous envoie les frères afin que la fierté que j’ai de vous ne soit pas vaine sur ce point et que, comme je le disais, vous soyez réellement prêts. 4 Je craindrais, si des Macédoniens viennent avec moi et ne vous trouvent pas prêts, que cette belle assurance ne tourne à notre confusion, pour ne pas dire la vôtre. 5 J’ai donc cru devoir inviter les frères à nous devancer chez vous et à préparer vos dons ; vos largesses déjà promises, une fois recueillies, seraient une vraie largesse et non une ladrerie. 6 Sachez-le : Qui sème chichement, chichement aussi moissonnera et qui sème largement, largement aussi moissonnera (Ps 22, 8) !
7 Que chacun donne selon la décision de son cœur, sans chagrin ni contrainte, car Dieu aime celui qui donne avec joie. 8 Dieu a le pouvoir de vous combler de toutes sortes de grâces, pour que, disposant toujours et en tout du nécessaire, vous ayez encore du superflu pour toute œuvre bonne. 9 Comme il est écrit : Il a distribué, il a donné aux pauvres, sa justice demeure à jamais (Ps 112, 9). 10 Celui qui fournit la semence au semeur et le pain pour la nourriture, vous fournira aussi la semence, la multipliera, et fera croître les fruits de votre justice. 11 Vous serez enrichis de toutes manières par toutes sortes de libéralités qui feront monter par notre intermédiaire l’action de grâce vers Dieu. 12 Car le service de cette collecte ne doit pas seulement combler les besoins des saints, mais faire abonder les actions de grâce envers Dieu. 13 Appréciant ce service à sa valeur, ils glorifieront Dieu pour l’obéissance que vous professez envers l’Evangile du Christ et pour votre libéralité dans la mise en commun avec eux et avec tous. 14 Et par leur prière pour vous, ils vous manifesteront leur tendresse, à cause de la grâce surabondante que Dieu vous a accordée. 15 Grâce soit rendue à Dieu pour son don ineffable !
Et lorsque j’ai été dans le besoin pendant mon séjour chez vous, je n’ai exploité personne, car les frères venus de Macédoine ont pourvu à mes besoins ; et en tout, je me suis bien gardé de vous être à charge et je m’en garderai bien.
Je me suis beaucoup réjoui dans le Seigneur de ce que votre intérêt pour moi ait enfin pu refleurir : oui, l’intérêt vous l’aviez, mais l’occasion vous manquait. 11 Ce n’est pas le besoin qui me fait parler, car j’ai appris en toute situation à me suffire. 12 Je sais vivre dans la gêne, je sais vivre dans l’abondance. J’ai appris, en toute circonstance et de toutes les manières, à être rassasié comme à avoir faim, à vivre dans l’abondance comme dans le besoin. 13 Je peux tout en celui qui me rend fort. 14 Pourtant, vous avez bien fait de prendre votre part de ma détresse. 15 Vous le savez, vous, Philippiens, dans les débuts de l’Evangile, quand j’ai quitté la Macédoine, aucune Eglise ne m’a fait une part dans un compte de doit et avoir, si ce n’est vous seuls, 16 vous qui, à Thessalonique déjà, à plus d’une reprise, m’avez envoyé ce dont j’avais besoin.
17 Ce n’est pas que je sois à la recherche de cadeaux ; ce que je recherche, c’est le fruit qui s’accroît à votre actif. 18 J’ai d’ailleurs en mains tout ce qu’il faut, et même au-delà. Je suis comblé, maintenant que j’ai reçu ce qu’Epaphrodite m’a remis de votre part, parfum de bonne odeur, sacrifice agréé et qui plaît à Dieu. 19 Et mon Dieu comblera tous vos besoins, suivant sa richesse, magnifiquement, en Jésus Christ. 20 A Dieu notre Père soit la gloire pour les siècles des siècles. Amen.
Ainsi, vous êtes devenus un modèle pour tous les croyants de Macédoine et d’Achaïe. 8 De chez vous, en effet, la parole du Seigneur a retenti non seulement en Macédoine et en Achaïe, mais la nouvelle de votre foi en Dieu s’est si bien répandue partout que nous n’avons pas besoin d’en parler. (…) 4, 9 Sur l’amour fraternel, vous n’avez pas besoin qu’on vous écrive, car vous avez appris vous-mêmes de Dieu à vous aimer les uns les autres, 10 et vous le faites d’ailleurs à l’égard de tous les frères, dans la Macédoine entière ; nous vous exhortons, frères, à faire encore de nouveaux progrès : 11 ayez à cœur de vivre dans le calme, de vous occuper de vos propres affaires, et de travailler de vos mains, comme nous vous l’avons ordonné, 12 pour que votre conduite soit honorable au regard des gens du dehors, et que vous n’ayez besoin de personne.
Selon ce que je t’ai recommandé à mon départ pour la Macédoine, demeure à Ephèse pour enjoindre à certains de ne pas enseigner une autre doctrine, 4 et de ne pas s’attacher à des légendes et à des généalogies sans fin ; cela favorise les discussions plutôt que le dessein de Dieu, qui se réalise dans la foi. 5 Le but de cette injonction, c’est l’amour qui vient d’un cœur pur, d’une bonne conscience et d’une foi sincère. 6 Pour s’être écartés de cette ligne, certains se sont égarés en un bavardage creux ; 7 ils prétendent être docteurs de la loi, alors qu’ils ne savent ni ce qu’ils disent, ni ce qu’ils affirment si fortement.